vendredi 29 mars 2013
Intempéries
Le temps péri, accueilli par
Mon compagnon le Parapluie.
Poursuivant mon périple sillonnant,
Arpentant ces ruelles identiques,
Comme pour m’imprégner de ces lieux.
Sans rechercher nulle part où aller.
Juste Etre dans ces rues,
Un capteur de ressentis,
Mes sens non endormis.
Regardant en l'air,
Le linge séchant sous les parapluies.
Stationnement
A la recherche d’une place gratuite.
Le manège enchanté,
Tourniquet de la ville.
Pour poser les repères,
Je passe mainte et mainte fois par ce chemin.
Ne sachant où aller maintenant,
Ne comptant le temps passé à chercher,
Ni l’énergie dépensée.
Je tourne en rond.
Arrêt sur image,
Le film se rembobine,
Retour à la case départ,
Fin de l’illusoire gratuité.
La facilité se fait payer.
Après 1 600 kilomètres
De routes et de brume épaisse,
Le ciel humide.
De tunnels de répit et dans l’obscurité,
Pour mieux se concentrer.
Pour unique contour, les parois rocheuses de la montagne
creusée,
Et pour unique mélodie, les sons lisses de l'humble bitume.
Des virages, des montées, des descentes,
Des obstacles à dépasser.
Ou comment apprendre par la route
A reconnaitre ses ressentis.
Laura Vernier, le 27 mars 2013.
mardi 19 mars 2013
dimanche 17 mars 2013
jeudi 14 mars 2013
dimanche 10 mars 2013
Simplicité
Le sourire intérieur anime le regard.
Si la sagesse de l'avenir doit venir des profondeurs,
Nous explorons les lueurs,
Pour que nos limites cèdent
Et que naisse l'espoir de s'aider.
Sait-on de quoi il s'agit?
Si l'on sème ces instants où s'aimer est autorisé,
Nous parcourons une douce danse méditative.
Si la sagesse de l'avenir doit venir des profondeurs,
Nous explorons les lueurs,
Pour que nos limites cèdent
Et que naisse l'espoir de s'aider.
Sait-on de quoi il s'agit?
Si l'on sème ces instants où s'aimer est autorisé,
Nous parcourons une douce danse méditative.
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